On a relevé :
La Communauté de communes et les poubelles...
Lors de la dernière réunion de la communauté de communes il fut question entre autres, du coût du ramassage des poubelles. Qui selon monsieur Accary coûterait 1,2 millions d'euros par an, ce qui est énorme évidemment. La solution envisagée est de mutualiser le ramassage avec la Communauté de communes de Digoin et par ce fait espèrer avoir une addition à la sortie coupée en deux. Sur le papier s'est vrai que vu sous cet angle ça paraît assez joli. Il ne faut pas être dupe, les deux principales compagnies qui tiennent le marché en main sont également soumisent à la pression de leurs actionnaires qui eux demandent leur part du gâteau (ndlr : ces derniers sont souvent très gourmands). Une autre solution qui semblerait mieux adaptée, mais qui n'a pas été évoquée, serait de rendre ce service public peut-être par le biais de l'intercommunalité. On se souvient très bien que par le passé les ébouheurs étaient des salariés de la municipalité de Paray, comme par enchantement, ce service fût transféré au privé avec les conséquences néfastes que l'on découvre maintenant,( n.d.l.r c'est ballot !) Ici à Paray on remarque déjà que les deux camions de ramassages un petit pour le centre ville et un gros pour les extérieurs, tournent déjà avec des effectifs de rippers* réduit au minimum, avec souvent un chauffeur également ripper, tant pis pour la sécurité, la pénibilitée du travail, on y songe même pas...il faut faire du fric ! Il semble qu'une expérience intéressante pour monsieur Accary et son homologue de Digoin serait qu'il fasse chacun quinze jours comme ripper, peut-être que là ils comprendraient plus facilement que c'est le travail seul qui produit la richesse, il n'a donc pas de coût ! contrairement à se qu'on nous rabâche sans cesse.
* Rippers : mot plus "branché" pour désigner les ébouheurs
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La Maison du Charollais
Depuis le début de son existence, le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle a vu déjà défilé une multitude de directeur ou de gérant sans pour autant décoller vraiment. Maintenue artificiellement en vie par des aides et des subventions venues de toutes part. Dernièrement c'est le Conseil général qui lui a octroyé une enveloppe de 650 000 € pour la réfection des cuisines.
Toutes les grosses huiles du Conseil général, ainsi que la députée Gueugnot et d'autres élus étaient là pour assister à l'inauguration par le ministre Montebourg, venu faire "cocorico". Le nouveau cuistot du lieu a du se frotter les mains en voyant la carrure du garçon qui préside le Conseil général, pour peu qu'il devienne un fidèle client ! Celà suffira-t-il pour cette fois ci, espérer un vrai décollage ?